« Quand il s'agit de sentiments,

les femmes n'ont pas de mesure. »

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Ombres chinoises,  du fond des nuits 

Tu m'emportes à travers la mouvance de nuages où le rêve,

fantasme inavoué me consume de désir

Jusqu'à  m'engloutir avec délice.

Ombrelle

Fragile

Ornée

D'un papier fin

Ne cache rien 

De la belle

Timide

Fragile

« Je préfère avoir des yeux qui ne voient pas,

des oreilles qui n'entendent pas,

des lèvres qui ne peuvent pas parler,

qu'un cœur qui ne peut pas aimer. »

Merci pour vos mots... Jusqu'à mardi... Puis je reviendrai... Vos mots me manquent votre amitié aussi.

J'essaierai de mettre un article ce soir et bien sur  un "copié-collé"que je Vous prie de bien vouloir m'en excuser.

Merci mes ami(e)s... Je Vous aime.

Anne-Eymeraude.

Bon Week-end à Vous tous

N'oubliez pas le changement d'heure!

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Heure d'Eté!

*

Vladimir Vologov

Qu'est devenu le temps.

Elle s'est levée de table sans mot dire,,, Ils étaient à ses côtés mais ne semblaient pas la voir,

Un soupir s'échappa de ses lèvres serrées,

Comme ils ont changé, pensa-t-elle.

Que sont devenus les bambins qu'elle serrait contre sa poitrine, respirant leur cheveux, caressant la frimousse aux yeux clairs, qui souriait toujours vers elle, dans l'attente du câlin du soir,,,

Leurs bavardages résonnaient, voletaient autour d'elle sans même la toucher, Personne ne lui adressait la parole,Un instant elle ferma les yeux, se prit à souhaiter de disparaître là, d'un seul coup pour voir s'ils s'en apercevraient, Oui, espérer ne serait-ce qu'un instant, détourner leur attention afin qu'ils puissent la voir elle, leur mère,

Quelqu'un a dit que les enfants ne nous appartiennent pas, C'est vrai, tellement vrai pensa-t-elle,

Mais de là, à devenir ces adultes froids qui semblaient l'oublier,,, Non elle ne l'acceptait pas, ne le comprenait pas,

Un café ?,,, Oui bien sur,,, Merci,

 Elle reprit sa place à la table, se réfugiant dans le silence.

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Juste une pensée.

Je regarde comme souvent une émission qui parle bien de toutes les religions...Un documentaire sur l'Ukraine, m'a bouleversée... je me veux citoyenne du monde. Cela aurait pu être un autre pays d'ailleurs.. 

Et je dis avec mes mots à moi :

Combien de temps Seigneur faudra-t-il encore pour que tes enfants comprennent que la violence

n'est pas un  langage. Si Dieu a scindé le dialecte des territoires en son temps... N'oublions jamais que notre sang lui est universel, sa couleur, le rouge nous rassemble tous.!

Lien indélébile.

Amen.

Hello mes ami(e)s...  pardon pour le silence de ces quelques jours....

Je me suis offert un nouvel ordinateur, portable celui-là... son nom?...Oscar2...

Et ben... Je vous le donne en mille... Il a chopé un virus!

Du jamais vu pour moi!

Après mon achat, comme il était convenu, un technicien est venu à domicile  le formater, télécharger quelques bons logiciels... Et le soir même...

Enfin il en résulte, la faute à pas de chance!

que Webs Searches (le virus)  l' a contaminé ainsi que mon autre ordi , le fidèle Oscar1!

Quelle journée!

Heureusement Docteur Anne a réussi à réparer ! 

Après de longues heures de bataille, et légèrement angoissées, l'être humain a gagné le combat sur la machine! (sourire)

Aussi  le technicien revient mercredi prochain pour vérifier 

Le petit convalescent.... Ben croyez-moi... là  je vais ouvrir l'oeil !

Alors j'irai dès que possible déposer mes mots sur vos pages! 

Bon dimanche et pour les Elections Municipales!

"Voter est un devoir civique"...

Bon courage!

Je Vous aime,

Anne.-Eymeraude

Avant.... 

Après!...

"Je préfère vivre mes rêves que rêver ma vie". 

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Vladimir Volegov

Tout dort encore. La nuit n’a pas fini sa course mais déjà salue avec engouement l’aube. Elle s’ébroue à travers de gros nuages légers et denses,  marshmallows acidulés qui zèbrent le ciel !

Je respire, comme apaisée.

Les senteurs que je croyais avoir oubliées flottent dans l’air. Tout me revient en mémoire. Face à ma fenêtre, l’arbre aux branches racornies, ornées de bourgeons, semble reprendre vie.

Il a retrouvé ses résidents fidèles. Deux colombes, qui bec contre bec, dissimulées

par un coin feuillu, Roucoulent doucement, chuchotement presque inaudible qui prendra son essor lorsque la clarté inondera le village !

Je me décide à sortir, et marche, silencieuse au milieu de la rue… Personne ! … Le bruit de mes pas, ne trouble aucunement le canevas du tableau vivant qui s’érige lentement, devant mes yeux. Ce jour qui vient n’est pas comme les autres ! Il est la renaissance de la nature et de ceux qui l’habitent ! 

Saison nouvelle qui de son giron gorgé de mystère, déverse allégrement la promesse

De jours meilleurs.

Les journées s’embellissent de fleurs et de verdure. Les filles à la chevelure, glissant sur les épaules, laisseront le vent taquin, les décoiffer ! Les garçons, les suivront du regard comme de si rien n’était… Jeunesse insouciante, différente de la mienne et pourtant analogue !.

  Il règne un je ne sais quoi d’enivrant… Comme si enlever cache-nez et manteaux, engendrait un sentiment puissant de liberté !

Mais oui c’est cela …. Après le froid, l’obscurité du cachot hivernal, comme il est bon de revenir vers la lumière !

« C’est comme si tout recommençait »… dit la chanson !

N’est pas la vérité ?… Nous parcourons les cycles des saisons avec plus ou moins de bonheur… Affrontant la vie sous les gouttes de pluie, sa langueur à l’ombre d’un automne et son trépas parfois dans le froid de l’hiver. Nous est alors gratifiée, la renaissance d’un printemps qui nous conduira vers cet été à la chaleur bienfaisante… Et puis… Et puis…

Mais je ne veux pas y songer !

Je ne veux savourer que ces mois colorés qui rendent le sourire…cet avenir proche, la venue du Printemps...

Ma saison préférée !

 Vladimir Volegov