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    "Si les yeux déshabillent la femme....Chut...le cœur lui donne le plus beau vetêment qui soit : L'amour'

    VL CLAUDE

    http://verismo.eklablog.com/

    Chut... LA NUIT EST LA... TROUVER LE REPOS.

    Chut...

    Le plus beau vêtement de la Femme est sa nudité.

    Yves St Laurent

    Chut...

     

    Chut...

    Enjôleuse

    Amoureuse

    Rêveuse

    Tu Souris

    Alanguie

    Et heureuse

    Chut...

     

    Chut...

     

    "L'amour est l'histoire de la vie des femmes, c'est un épisode dans la vie des hommes." 

     Madame de Staël ; L'influence des passions (1796)

     

    Chut...

    Chut...

    Pardon pour ce silence... Mais je reviens...

    Eymeraude

     

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  • Hier...

    A

     Monsieur Hervé Gourdel

    Pour Lui.

     

    Entends-tu le vent d'automne

    Il parle du temps qui fuit

    Qui fait courber les fronts

    Sous les coups du bourreau

     

    Entends-tu donc le cri de celui qui se meurt

    Moi il glace mon cœur qui se serre et qui pleure

    Le sang que l'on répand

    Celui de l'innocent

     

    Et pourtant

    La vie est belle et bonne

    Malgré la dureté des hommes

    Qui d'une main souillée de sang

    Font de la foi une cruelle loi

     

    Moi je l'entends ce vent venu de nulle part

    Il me parle  me dit de ne pas désespérer

    Il me dit de prier l'éternel le Divin

    Celui qui n'est qu' Amour et quémande la paix

    Pour les nations meurtries du joug de l’infamie

     

    Oui j'ai entendu ce soir du fond de mon silence

    Le souffle d'une voix dérivée jusqu'à moi

    Le traduire de mes mots sans autre impertinence

    Face à l'indicible horreur que celle de l'écrire.

     

     

    Hier...

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  • Nouvelle saison.

     

    Nouvelle saison.

     

     

    Nouvelle saison.

     

    C'est l'automne qui vient

    Sans bruit et qui dépose

    Le subtile parfum

    Suranné des choses

     

    Nouvelle saison.

     

    Nouvelle saison.

    Le temps passe s'étire

    Nous entraîne sans trêve

    Vers les rives les grèves

    D'un infini sommeil

    Nouvelle saison.

     

    Sonnet d’automne


    Ils me disent, tes yeux, clairs comme le cristal :
    ” Pour toi, bizarre amant, quel est donc mon mérite ? “
    - Sois charmante et tais-toi ! Mon coeur, que tout irrite,
    Excepté la candeur de l’antique animal,

    Ne veut pas te montrer son secret infernal,
    Berceuse dont la main aux longs sommeils m’invite,
    Ni sa noire légende avec la flamme écrite.
    Je hais la passion et l’esprit me fait mal !

    Aimons-nous doucement. L’Amour dans sa guérite,
    Ténébreux, embusqué, bande son arc fatal.
    Je connais les engins de son vieil arsenal :

    Crime, horreur et folie ! - Ô pâle marguerite !
    Comme moi n’es-tu pas un soleil automnal,
    Ô ma si blanche, ô ma si froide Marguerite ?

    Charles Baudelaire, Les fleurs du mal

     

    Nouvelle saison.

    Nouvelle saison.

     

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    8 commentaires
  • ...♥

    ...♥

    «Ne suis pas tes rêves, pourchasse-les !»

    ...♥

    ...♥

    ...♥

    ...♥

    ...♥

    ...♥

    ...♥

    ...♥

     

    «Ne renonce jamais à un rêve seulement parce qu’il te faudra beaucoup de temps pour l’accomplir. 

    Le temps finit toujours par passer de toute façon»

    ...♥

     

    Laissez passer les rêves !

     

    ...♥

    Bon début de semaine mes ami(e)s...

    Et fasse que la douceur ne soit pas seulement dans la météo, mais également dans nos coeurs.

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  •  

    Ca bouillonne comme le coeur  qui palpite sous la caresse ardente.

    Se dévoilent alors des coursives invisibles de notre conscience, l'extase et ses fibres sibyllines qui suintent  de nos émotions.

    CLIC SUR PEINTURE

     

    Francine Van Hove

     

    Lina, le front penché à sa fenêtre observe, rêveuse, le mouvement continu de sa rue. Vision étrange que ces ces clignotements, éclairs, brouhaha d'un soir qui lentement renverse la clarté vers la nuit, comme l'amant se fond dans le corps de sa bien-aimée, avec langueur.

    Un léger sourire flotte sur ses lèvres, paroles silencieuses, torpeur d'un souvenir dont la présence soudaine la trouble encore et toujours. La tête oscille légèrement au rythme d'une musique secrète, tandis que ses mains fines, veinées de bleu, caressent machinalement le rebord de la fenêtre en fer forgé.

    Tant à dire et se taire, par pudeur? un peu par paresse sans doute... La silhouette nimbée d' ombre me fait penser à un pastel, nuance crépusculaire où se profile la matière moirée d'un réverbère. Dans un repli des nuages, apparaît intermittent le brillant de la lune, offerte à l'opacité ambiante.

     

    Line se redresse, soupire humant l'air agréable qui l'enveloppe, elle ferme un court instant, ses paupières qui laissent glisser deux perles de cristal. son corps demeure là, immobile. Les sens apaisés,le silence l'envahit, dessinant çà et là, ombres chinoises, volutes sanguines.

    Au milieu de la pièce, sur la table, un cahier d'écolier qui attend sa ration de verbes, de syllabes qui feront les mots auquel aspire l' âme sensible. Quelques pas, un coup de tonnerre soudain la fait sursauter. La pluie frappe rageuse contre la vitre vite refermée! Un pan de rideau levé laisse apparaître l'ébauche d'un ruisseau qui coule, enfle et dévale le trottoir! .

     Du revers de la main, elle essuie son front puis s'assied. La page est là qui l'attend. Blanche, virginal feuillet sur lequel une histoire bientôt prendra forme, laissera une empreinte... Celle d'une femme, la sienne.

      

     

    Que votre Week-End soit doux mes ami(e)s

    Où que Vous soyez!

     

     

     

     

    LA BEAUTE

     

    DES ARBRES ENDEMIQUES DE LA NOUVELLE-CALEDONIE

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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