• ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

     

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

     

    CLIC SUR IMAGE

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    Mille vies... J'ai vécu, tout comme Vous qui peut-être me lisez.

    Les saisons  déposent leurs sillons  sur le front penché près de la lampe écarlate de nuits blafardes.

    Mais jamais ne flétriront l'ardeur qui coule dans mes veines. Vivre encore et toujours !

    Ni le froid de l'hiver , ni la vicissitude du quotidien, ne saurait dégrader l'espoir de mes ambitions.

    L'Inéluctable nous fait face , se dresse alors l' impérieux besoin de croire en une éternité.

    Moi je me la fabrique, cette pérennité, à coups de mots, de ressentis, de partage en aveugle afin de mieux offrir. 

    Un sourire à autrui, un propos amical et me voici ravie oubliant les soucis.

    Nous ne sommes rien sans les Autres... Ne jamais l'oublier.

     

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

     

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    Un Week-End de plus et bientôt les vacances, Noël n'est plus loin

    Je Vous aime.

    Anne- Eymeraude

     

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    Dans quelques jours... Alors... 

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

    CLIC SUR CE QUI EXISTE MALHEUREUSEMENT

    ♥♥♥♥♥♥♥♥♥

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    19 commentaires
  • Rêverie...

    Rêverie...

     

    Rêverie...

    Un Week-End plein de soleil... Pourquoi pas!

    Il est déjà là et me chauffe le coeur... Je Vous souhaite le même

    Mes ami(e)s.... Avec toute mon amitié.

    Je Vous aime. Anne-Eymeraude

     

    Rêverie...

     

    Rêverie...

    Rêverie...

    Il fait froid. Derrière la fenêtre de la chambre, la branche de l' arbre nu  se berce, étire

    sa ramure haut vers le ciel, comme une plainte. La grisaille de l'aube , gomme le dernier rempart d'une nuit d'hiver. Le timbre du réveil blesse le silence. La jeune femme s'éveille. Elle discerne peu à peu son environnement.

    Elle se  souvient d'avoir rêver, et le perdre ainsi  la rend maussade. Face à elle, le tracé de la bruine glisse  sur le carreau, Le bruit intermittent des autos qui en long cortège fuient la banlieue, ces masques invisibles au volant de monstres crachant leur colère aux vapeurs opaques. Ne plus les entendre, fermer les yeux se lover dans le creux de ce lit imprégné de la chaleur de son corps... S'étirer...

     Se laisser envahir par cette imagination qui l'emportera vers l'univers de paix... Retrouver le calme au fond duquel l'âme fragile se découvre à l'envie, Oublier ce qui n'est pas beauté, n'écouter que le son mélodieux d'une musique venue d'un ailleurs ignoré.

    Un murmure puis d'un geste gracieux, la belle au visage de porcelaine,  lisse et doux, pose sa tête sur l'oreiller à fleurs, la chevelure ébène, boucles soyeuses lui fait une couronne. Comme elle est jolie!

    Diaphane silhouette dont la chemise de tissu fin, laisse deviner un corps aux formes pleines. Estampe fragile ô combien ravissante...

     Maintenant le jour prend possession de la pièce au murs laiteux. Un rai de soleil frileux se faufile et la caresse... Mais elle n'en a cure, elle a rejoint l'autre côté.  

      

    Rêverie...

    Rêverie...

      

    Rêverie...

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    26 commentaires
  •  

     

    Aujourd'hui, la journée contre le SIDA

    Il faut continuer le combat : Se protéger.

    TRANGRESSION

     

     

    TRANGRESSION

    CLIC

     

    Isabelle Adjani

    TRANGRESSION

    Isabelle Adjani  revient!...

     

    Une longue, très longue période pendant laquelle son regard lumineux n'a pas crevé l'écran. J'ai toujours été touchée par cette jeune actrice , insolente de beauté dont la seule réplique, à la Comédie Française «Le petit chat est mort», extraite de «l'école des femmes» de Molière, nous la fit découvrir et la rendit célèbre...

     

    Cette comédienne va donc faire son grand retour au théâtre dans une pièce, « Kinship » Drame Racinien, l'ombre de Phèdre, femme passionnée mais aussi torturée, va aimé, souffrir à en mourir, sous le souffle d'une mythologie lourde de sensualité violente.

     

    Je ne connais pas vraiment l'adaptation française de cette pièce américaine, mis en scène par Julien Collet... Si ce n'est, que me reviennent quelques bribes de mes classiques... Une femme d'âge mure, d'une ascendance divine, se trouve confrontée à l'interdit. Elle s'éprend de son beau fils, Hippolyte, jeune homme qui lui n'éprouve aucun sentiment pour elle. Remplie de rancoeur, Phèdre se vengera en accusant Hippolyte de l'avoir violentée, et il périra. Phèdre, alors prise de remords, trouvera l'oubli de sa honte dans le poison,.

     

    Pas gai tout ça! Monsieur racine était certes un grand dramaturge mais également légèrement misogyne.

     

    De tout temps que ce soit en littérature, en politique ou dans la société le statut de la Femme a été rogné... déni insondable depuis la nuit des temps. Enfin! Doit-elle faire peur!

     

    Tout d'abord, Phèdre, fille de Pasiphaé  et de Minos, me semble être la victime de son hérédité. Sa mère, légèrement perverse, noue une relation avec un taureau, la voici affublée d'un demi-frère et pas n'importe qui... Le minotaure,

     

    Ensuite femme faible, elle s'amourache de son beau-fils. Honte à elle... ce penchant ne peut qu'être voué aux flammes de l'enfer, déchirée entre le bien et le mal, comment saurait-elle choisir, elle dont les sens brouillent sa raison, a-telle seulement assez de jugement?... Assez de discernement?... Aimer son beau-fils, cela ne ressemble-t-il pas à l'inceste... Et cette jeunesse face à ce visage vieillissant... N'est-ce pas simplement indécent?... Quelle transgression!

     

    La Mythologie m'a toujours passionnée, Les situations extraordinaires... Des Dieux, astres ou entités qui disposent des éléments, des humains selon leurs bons plaisirs...

     

    Dans son œuvre Racine nous montre son appréciation des multiples facettes de l'âme féminine.

    Passionnée, la personnalité se module selon les événements, elle se métamorphose. La jalousie puis la haine d'être dépossédée de cet amour qu'elle veut à tout prix, la voici tiraillée, entre avouer son mensonge qui libérerait celui qu'elle chérit ou bien se taire... le perdre à tout jamais et se perdre aussi.

     

    Et puis sa solitude... Cet isolement provoqué par un destin hors norme qui la rend misérable. Tour à tour, Bourreau et victime... Coupable et innocente, transcendée par l'espoir puis le désespoir, le miroir se fait flou jusqu'à ce que cette fille issue de Dieux se fonde en lui et disparaisse.

    Et bien c'est triste tout cela! Heureusement aujourd'hui les choses ont changé... Enfin … un peu...Je crois.

     

    Qu'en pensez-Vous?

    CLIC

     

    PHEDRE

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    30 commentaires