-
Ne jamais oublier que derrière nos écrans il y a des Hommes
Bonsoir les ami(e)s...
Mon dos me fait souffrir, quinze séances de kiné et je devrais
pouvoir gambader à nouveau. Mais en attendant... Dur dur de se
tenir droite devant le bureau ! Quel fouillis, il faudrait que je
trie, c'est quoi ce papier... Ah! je me souviens, j'avais un
problème avec
Oscar2 ( Oscar2 c'est mon ordi )...Il s'agissait de l' extension
dcpfhaghaadpjpgocojgnlhjcieeooel, attenant à Google. Je
m'évertuais à vouloir le supprimer avec l'aide de Adwcleaner, un
anti-spyware, mais mon problème demeurait récurent!
En me mettant à pratiquer cet outil fabuleux qu'est
l'informatique, je n'avais aucune idée de ce qu'était Internet
et de ce vaste monde nébuleux pour moi :
le langage informatique.
"On appelle « langage informatique » un langage destiné à décrire l'ensemble des actions
consécutives qu'un ordinateur doit exécuter. Un langage informatique est ainsi une façon pratique
pour nous (humains) de donner des instructions à un ordinateur. "
http://www.commentcamarche.net/contents/617-les-langages-informatiques
Notre monde évolue, se transforme à une vitesse qui me donne
parfois le vertige. Des mots, des chiffres collaborent à la
naissance d'une ère nouvelle. Un univers qui n'a pas terminé sa
gestation
mais qui un jour...
Alors lorsque je me perds dans ce jargon, que je me creuse la
cervelle à essayer de déchiffrer pourquoi Oscar2 "mouline"
anormalement je vais chercher de l'aide sur deux sites. Je
trouve, parfois une réponse à mon problème en lisant les
questions posées par d'autres internautes,et toujours une aide
précieuse. Ces sites sont :
http://www.commentcamarche.net/
ET
Derrière l'écran, des hommes, le plus souvent, jeunes je pense
sous des pseudos un peu bizarres, Qui sans rien demander, nous
expliquent le moyen de télécharger le logiciel adéquat, de
réparer ce qui ne va pas, en des termes concis, comment y parvenir
et ce aussi longtemps qu'il est nécessaire. Le dialogue existe
alors le partage aussi et moi j'apprécie cette solidarité du
savoir, moi qui ne sais rien. Je me surprends à suivre les
discussions,sur les forums... La curiosité dans ce domaine s'avère
souvent positive...
Vous parler d'eux, ce soir est ma façon de les remercier et de
partager à mon tour. Si Vous avez un soucis n'hésitez-pas!
Dans cette société où le "quant à soi" semble gagner du terrain,
je m'étais promis de leur dire merci, voilà c'est fait. Je leur
devais bien cela.
17 commentaires -
Atelier de Lady Marianne.
CLIC SUR LIVRE
LE PETIT JEU DE LETTRES.
indice-
nous les femmes allons voir un ?
GYNECO
c'est le début du mot
Gynecocratie
cygne - cierge- contrée- règne- teigne- écorce- carte- écarter
étayer- égaye- Irène- caron- étain - cogiter- ternie
Cette Gynecocratie moi, Irène Caron, assise sur un banc, face au
lac, je la perçois. Une carte démocratique certes mais sur
laquelle chaque contrée serait administrée par une femme!
Le règne doit-être enivrant, si j'en juge par l'acharnement avec
lequel on s'y précipite!
Ah! Que cela serait bon de pouvoir étayer avec ferveur un
chapelet d'espérance, face à la foule en liesse, promettre une
destinée qui ne serait plus ternie par l'idéologie du "quant à
soi".
Oui...Oui... Je cogite, je sais... Tiens sur l'étang, un cygne
blanc comme neige, glisse, égaye par sa présence, le
décor automnal.
De ses pattes palmées, il fend la surface de l'eau qui sous le ciel
chargé prend la couleur de l'étain.
Un canard à l'attitude comique, creuse de son bec l'écorce du saule
au feuillage ondoyant. Il cherche sa pitance, vers de terre,
insectes,jusqu'à ce qu'un intrus, au plumage sombre lui cherche
querelle. S'ensuit alors, coups de becs, plumes ébouriffées sous
la violence de ce volatile hargneux comme la teigne!
Au loin, la cloche de mon village me dit qu'il se fait tard.
Revenir Vite à la réalité.
Ecarter de l'esprit ce vagabondage. Je passerai à la chapelle, et
comme à chaque fois, ferai brûler un cierge.
17 commentaires -
Mettre du bleu, pour effacer le gris de l'automne... Faire par des mots, reculer
ces jours qui se font plus courts... Effacer la pluie des yeux
puis espérer que ce Week-End offre à Tous,
un peu de tendresse... Bleue.
Qu'une voix murmure les mots de tous les jours...
Ou qu'elle se taise... Ô Silence plus éloquent que mots, que cris.
Dans un monde de brutes...
Quelques moments de douceur... De paix.
Fatiguée mais toujours le coeur vaillant
J'irai vers toi, où tu que tu sois.
Une pensée pour une étoile qui scintille là-haut...
Celle de Mr. Guy Béart, Chanteur- Compositeur.
24 commentaires -
Les jours, les heures, les minutes et les saisons filent
à tire-d'aile... Nous voici déjà à l'aube d'un nouveau week-
end.
Hier c'était l'été et déjà imperceptiblement le paysage se
métamorphosait ! Nos yeux, nos sens, ne le percevaient pas, pris
dans le tourbillon joyeux des vacances! Humbles acteurs nous
sommes, pendant que sur
l'invisible scène de l'univers évoluent comédies, drames,
horreur de la folie humaine.
Mais la Nature, elle, tranquille, continue son immuable trajet,
boucle sans fin, ce qui doit être, lassée de nos erreurs.
Cet après-midi, je suis partie dans ma campagne... L'air était
frais et les rayons du soleil illuminait l'horizon. J'ai goûté
la mûre du buisson épineux. Son jus tâchait mes doigts me
ramenait des années, des siècles en arrière! Bleu, vert et cet
or qui éclaboussait l'azur ! Comme c'était beau. Je me suis
sentie jeune! . Au loin pas un bruit, pas même celui du tracteur qui traçant le sillon du champ, laissait derrière
son passage, une terre meurtrie, béante... Un sol gras, qui
demain ensemencé, deviendrait fécond.
Je me suis assise en tailleur dans l'herbe encore drue... A
quelques mètres de là, une classe de jeunes enfants. Ils
s'esclaffent, s'agitent! Au grand dam du professeur qui menace,
sans succès, et ranime les rires malgré lui. Moi je me laisse
aller, légèrement grisée par ces heures si pleine de vie.
Savourer, savourer et jouir de l'instant présent. Nimbes précieux
d'une saison moribonde...Car demain, bientôt, l'automne
s'invitera, agrémentée de bourrasques, de pluie et
d'un ciel bas, si bas.
L'esprit vagabond, me reviennent alors des vers appris,
aimés, Poésie au accents si réels... Trop réels.
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.La cloche, dans le ciel qu’on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l’arbre qu’on voit
Chante sa plainte.Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.Qu’as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu’as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?Paul Verlaine, Sagesse, 1881
Ami(e)s , que votre Week-End soit Beau,
Puissiez-Vous en profiter !
Je Vous aime...
Anne-Eymeraude
25 commentaires -
CLIC SUR TABLEAU
Absurde vanité
Ecrire j'aimerais
Et pourtant je ne fais
Que des mots gribouillés.
De l'encre évaporée
vole le souvenir
De mes lettres feutrées
Le souffle d'un zéphir
Respiration du corps
Résonance de l'âme
Carnation de la Femme
Qui dans l'ombre s'endort
Je vis je pleure et ris
Ne montrant le profil
Inerte sans souci
De l'être travesti
Un instant de bonheur
Un rayon de soleil
Escamotent la peur
Tapie dans le sommeil
Vais-je me réveiller
Vais-je alors sur la page
Un à un déposer
Le fruit de mon mirage
Noircir de mon discours
La page de mes jours
Reconstituer enfin
les contours du chemin
Rêverie narration
Ce sentier fut si long
Et me voici ce soir
Les yeux brillants d'espoir
Absurde vérité
Mais pourquoi après tout
Puisque mes mots pour vous
Du cœur vous sont donnés
Anne
CLIC SUR PHOTO
13 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires