-
Lorsque le besoin de s'évader nous prend..
Lorsque les pensées se dispersent au quatre coins d'une terre ...
Et que le silence se fait pressant...
Prendre un peu de recul et se dire...
"Je reviendrai et ils seront là".
Je Vous aime... Anne- Eymeraude
15 commentaires
-
Demain je pars pour un autre rivage... La mer
m'attend... Ses vagues me lécheront les pieds et le bruit du
ressac me réjouira de sa musique mousseuse.... J'ai préparé mon
sac et Oscar mon complice m'accompagnera vers cette nouvelle
expérience.... Je vous ai mis dans un coin de ma tête et lorsque
je serai face à cette immensité, mes pensées seront pour vous!
Bon 14 juillet !
Je Vous Aime. Anne. EymeraudeMon pays demain sera en fête! Malgré les peines, les horreurs de
ce monde qui tremble sur son socle, je le veux BLEU BLANC ROUGE
comme le drapeau qui fait de nous ses enfants.
Le ciel se peindra d'azur, le soleil, des ses rayons d'or
brillera d'une telle intensité, que nos champs de blé pas encore
murs, sous son éclat, scintilleront comme les diamants les plus
purs... Les filles de mon pays mettront leurs plus beaux
atours pour enlacer les gars et les entraîner dans un tourbillon
sans fin. Et puis puisque je rêve, que j'aime et suis fière
d'appartenir à la France, je tendrai la main vers ceux qui comme
moi, ont encore au coeur assez d'innocence, assez d'amour pour
croire que le meilleur, la bonté gagneront toujours au bout du
compte sur l'obscurantisme et l'ignorance.
6 commentaires
-
CLIC sur photo
esquisse
Ombre féline qui me transperce le coeur, que deviendrais-je si de tes courbes offertes à mes mains ne subsistaient que les volutes de mon fantasme!
L'obscurité sied aux amants, ne scellant que les murmures comme capelets autour de poignets sanglés. Silence violent, mots tronqués par le plaisir, la matière se fait loi. Ne se distingue alors que le souffle de ceux qui se cherchent en vain prisonniers du désir.
Opaline fragile, au grain de peau aimable, ton regard me poursuit bien au delà des nuits. De tes éclats de rire, tu me pourfends sans fin... Que ne puis-je te fuir mon amante infidèle qui de mon âme en friche se pourlèche les lèvres.
Fatale volupté qui me ramène à toi, vaincu et tu le sais... Puisque de toi sans cesse la convoitise étreint ma vision et mes sens.
Je respire avec peine jusqu'au moment choisi où soudain alanguie, entre le drap se glisse ta fine silhouette. En vagues se délient les joutes voluptueuses où je me jette alors en un fou corps à corps... Pareil à ce noyé qui dans l'ultime élan se laisse alors glisser au fond de l'océan. Je trouve le sommeil... Pour te rejoindre encore.
Merci à Beauty pour ce cadre magnifique.
14 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires