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Par Eymeraude le 14 Août 2020 à 21:43
Beau et bon Week End mes ami(e)s.♥
Après ces jours si lourds
étouffant de chaleurs
Le soir sur nous étend
Son souffle bienfaisant
Nul bruit ne vient troublé
Nos âmes tourmentées
D'évocation impie
En cet instant béni
Que tout soit apaisé
Et que de notre nuit
Jaillisse la clarté.
A.C.
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Par Eymeraude le 11 Août 2020 à 11:39
Il fait encore chaud! Mais bien sur c'est l'été... Pourtant j'ai voulu vous offrir deux photos qui je l'espère Vous seront agréables!
De l'avion voici cinq ans j'avais pris cette photo qui me faisait rêver. Après un séjour de
deux mois en Nouvelle-Calédonie, iles paradisiaque !
Nous avions décidé de faire une halte de quelques jours en Australie, je voulais visiter l'Opéra de Sydney!
Dans le ranch à "Bourail", ville située à une centaine de kilomètres de Nouméa !Beaucoup d'élevage .
La Nouvelle-Calédonie, le Nickel et tant de problèmes humains... Ici... Ailleurs... Mais jamais je n'oublierai cet endroit merveilleux à la végétation luxuriante et atypique.
TEXTE Pris sur Internet.
Lentement notre avion entreprend sa descente vers l'Australie, "Sydney". Je rechercherai des photos si cela Vous est agréable !
Des paysages beaux à couper le souffle, mais aussi beaucoup de misère. Mon empathie m'a fait approcher de nombreux autochtones, dont la gentillesse ne demandait qu'une chose pourtant que l'on respecte ce qu'ils sont.
Bonne journée à vous les ami(e)s!
Anne. Eymeraude
Il n,est pas de hasard. Ce soir, sur la chaîne O
LE FILM :LOUISE MICHEL LA REBELLE.
Déportée, (après avoir combattu pendant "la Commune" pour la justice sociale) elle devait rejoindre Bourail , la grande terre, mais refusa
décidant de demeurer avec ses soeurs de misère, solidaires des hommes avec qui elles
avaient combattu sur l'ile de Ducos.
Madame Louise Michel
29 mai 1830 - 9 janvier 1905
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Michel
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Par Eymeraude le 6 Août 2020 à 13:16
La clarté ne naît pas de ce que l'on imagine de clair
mais de ce qu'on prend conscience de l'obscur.
C.G.Jung.
Gifs animaledgif Pinterest.
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Par Eymeraude le 4 Août 2020 à 15:31
Extrait de il était une fois Irène.
Pendant longtemps Sollena avait perdu le désir d'écrire. Son entourage ne l'y encourageait pas. Elle, vieillissante et repliée sur elle-même, persuadée que ses jours étaient comptés, renonçait à se dévoiler, avant de partir, à Eux ces êtres chers. Chacun suivait son chemin pas toujours facile, sans méchanceté, sans élan de tendresse, c'est ainsi.
On ne choisit pas sa famille dit-on, ce doit être vrai
Elle n'était pas triste, non elle passait son temps à visionné des films, lisait parfois et regardait par la fenêtre, les heures, les jours défilés sans éclats, sans soleil.... Le calme plat. Elle avait dit "Je veux la paix"... N'ai-je pas assez de mes douleurs qui me font sangloter la nuit, quand le moindre mouvement devient lancinant, lorsque le haut de l'épaule semble percé par un clou qui broie votre chair ! Et le matin, à ne pouvoir mettre un pied par terre.
OUI... La paix Elle voulait!
Cela avait commencé voici des années. Au fur et à mesure, l'enfant, l'adolescente se heurtait à l'indifférence de ses géniteurs. Lui violent dans la boisson, Elle, mère indifférente et faible sous les coups semblait avoir accepter son sort. La petite Sollena l'aînée de la fratrie de six enfants, protégeait mère, frère et soeurs, son seul bonheur était de chanter. Elle chantait sans arrêt, dans la rue, en jouant elle chantait! et ramassait les quelques pièces que les fenêtres lui jetaient!
La vie file et va si vite que l'on a pas le temps parfois de reprendre son souffle, les questions que l'on se posent demeurent sans réponse et un jour, allez savoir vous revient un incident, des mots qu'une personne toxique vous a jeté au visage et marqué à vie.
Rentrer dans les détails, n'apporterait pas,plus à ce récit.... Ma question était "Pourquoi ne m'aime-t-on pas".
La réponse me vint comme une blessure, moi qui avait la foi juive, sans aucune affiliation aucune, je me sentie meurtrie au plus profond de moi. Cette confession, germée en moi, une personne venait de me l'arracher, m'interdisant à jamais de pouvoir y parvenir.
Je sais que ceci peut paraitre insensé et pourtant ... Jamais je n'ai oublié... Et même aujourd'hui si ma blessure, a pâli sa trace indélébile me la rappelle et ce à jamais.
A.C.
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