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CLIC SUR ETOILES*
Bonjour mes ami(e)s. Je ne suis pas encore en pleine forme, alors pas très présente sur mon blog. Je Vous prie de bien vouloir m'en excuser.
Mais aujourd'hui, je voulais écrire, afin de témoigner... Trois jeunes femmes, pas loin de l'enfance qui ne sont plus. qui ont été massacrées.
Je ne fais aucune généralité... J'ai horreur de juger. Mais cette petite vie, enceinte de trois mois, lapidée parce que mariée par amour.ce mari qui avait lui-même tuée antérieurement sa propre épouse.... Mais où sommes-nous !
En ce qui concerne ce crime,J'ai honte pour ces personnes,membres de sa famille, qui pour laver leur honneur ont jeté des pierres,sur Fazana Parveen. Ils l'ont arrachée à ceux qui voulaient la sauver,lui brisant le visage avec des briques. Indicible massacre. Le premier ministre pakistanais, monsieur Nawaz Sharif, indigné, a exigé des mesures urgentes... Mais elle est morte.
Ma foi est catholique, et n'en demeure pas moins humaine!... Je respecte chaque croyance qui prêche le respect et l'amour pour son prochain... Mais là pas une once d'amour... Non simplement une doctrine surannée, un façon de déshumaniser "La femme", la réduire à un simple objet.
Ces pratiques sont honteuses pour l'Humanité! J'ai conscience que dans notre civilisation, il fut un temps où nos aïeules, n'étaient pas mieux nanties par les lois, même si cela n'est pas comparable avec la barbarie qui sévit encore dans certains pays. Et même souvenez-vous,il n'y a pas longtemps, que dans notre pays, la France une femme dans un T.E.R. fut agressée, sans QU'AUCUN voyageur n'ait essayé de lui porter secours. Il eut été facile pourtant de tirer le signal d'alarme....
Peur, Lâcheté , Absence de bonté... Le monde est fou, englué dans des traditions absurdes et cruelles... Nos instincts parfois s'avèrent pire que celui des animaux.
Deux jeunes filles en Inde, violées et pendues. Castre Intouchables, laissée pour compte, où une fille ne vaut RIEN... Là aussi la Justice veut rechercher ces criminels! Qu'elle soit intègre et les punisse comme il se doit.
Je sais que mon blog a le privilège d'être lu dans de nombreux pays... Qu'ils soient persuadés de ma profonde et sincère estime pour ce qu'ils sont, curieuse des diverses cultures qui ne peut aboutir qu'au partage et un épanouissement certain. Je ne veux porter atteinte à aucune société, ma méconnaissance en est la première faille.
Mais JAMAIS ma conscience ne saurait regarder, lire que quelque part, qu'une de mes soeurs est sacrifiée au nom de traditions obscurantistes sans que mes mots, même s'ils ne servent pas à changer le monde, ne viennent témoigner de cette souffrance injuste, abominable.
Les FEMMES de là-Bas sont courageuses, elles se montrent et qui sait... Un jour peut-être... Je le souhaite vraiment
Jésus a dit: Que celui qui n'a jamais pêché...
Mes pensées vont vers ELLES.
Bon Week-End de l'Ascension.
Je Vous aime. Anne
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23 commentaires -
Il pleut des cordes, averse froide, pluie aux gouttes serrées qui frappe d'un son atone le bitume noyé!
Il pleut et je n'aime pas ces larmes que le ciel furieux déverse sur nos têtes... Maussade journée, triste toile qui déteint sur mon moral, je voudrais me mettre sous la couette et attendre... Attendre que les choses se métamorphosent. Blottie au creux de ma nonchalante nostalgie, je regarde défiler des images, des lèvres qui parlent parlent sans qu'aucun son ne parvienne mon oreille. Il y a seulement quelques jours le beau temps semblait s'être installé. L'air était encore un peu frais mais juste ce qu'il faut afin d'étrenner ce joli foulard aux touches de bleu turquoise qui me donne bonne mine.
Joyeuse, j'avais entrepris de débarrasser de leur plastique, robe fluide, pantalon blanc et top de dentelle. Étalés sur mon lit, s'échafaudait le pitch de journées chaudes, de mélodies de vacances éternelles, parfums de lavande se distillant sous le souffle ardent d'un vent venu du Sud!
Baliverne que tout cela! La nature se joue de nos aspirations! Elle nous met l'eau à la bouche, nous fait saliver bien avant que sonne l'heure de changer de saison! Et puis lorsque nous serions en droit
de croire qu'est derrière nous, l'époque maussade et frileuse ... Ne voilà-t-il-pas que le ciel se gonfle de nuages rageurs, que l'aube indécise tarde à trouvé son heure... Que la grisaille peint les murs de nos journées, nous laissant dépités.
La météo capricieuse aime à se faire désirer, à jouer à cache-cache avec les humains... serait-ce pour leur faire comprendre sa souveraineté...
Un soupir... il ne pleut plus enfin... Bientôt viendra la nuit.
18 commentaires -
Maman tu vis en moi puisque ce coeur qui bat
C'est toi qui me l'a donné.
Malgré le temps qui passe et dépose ses rides
Je demeure à jamais cette enfant qui t'aimait.
Tu m'as donné la Vie et je t'en remercie
Même si par instant nous fûmes séparées
Ton sourire est gravé dans un coin de âme
Je te revois riant et ressens ta douceur
Qui savait consoler les chagrins et les peurs
A mon tour je suis mère et comme toi à maman
Mes petits clameront "Bonne fête maman"
Alors sans rien dire, s'envoleront vers toi
Ma tendresse et mes voeux vers toi MAMAN
Un joyeux et beau Week-End, particulier qui met à l'honneur les Mamans.
Je le souhaite pour Vous, rempli de tendresse.
Je Vous aime.
Anne-Eymeraude.
36 commentaires -
VICENTE ROMERO REDONDO
Au détour d'un chemin si vous la rencontrez, vous aurez l'impression de la connaître cette inconnue qui semble errer, le regard absorbé dans ses pensées. Tellement perplexe, qu'elle passera près de vous, vous frôlant presque sans vous voir.
Autour de sa silhouette une vapeur étrange, à la senteur à nulle autre pareille, la suivra comme son ombre, dissimulant son allure si particulière, à votre vue, comme les remous d'une brume sporadique...
Sera-ce le matin, quand l'aube encore frileuse, dépose langoureuse ses perles de rosée qui offre à la rose la magnificence d'une fleur scintillante, et laisse à chacun le temps d'abandonner son rêve, avec le secret désir de le retrouver et d'en poursuivre la lecture, lorsque le temps sera venu!
Ou bien encore, sera-ce le soir venu, lorsque la journée, vous ayant offert le gain des servitudes quotidiennes, le front barré d'une fatigue extrême, vous aurez soif de trouver le repos, flânant, arpentant le trottoir d'une ville bruyante, colorée comme la femme trop maquillée, ou bien alors suivant la grand-route du village, devinant derrière sa fenêtre, l'ombre chinoise qui semble vous épier, à chacun de vos passages... Oui sans doute est-ce à un de ces instants, que du fond d'un coin de votre esprit nomade, des ténèbres elle jaillira et sans un mot, s'emparant doucement de votre main, elle vous entraînera.
VLADIMIR VOLEGOV
Le soleil semble vouloir s'installer, comme c'est bon d'admirer notre quotidien coloré!
Je reviens doucement et en suis heureuse mes ami(e)s... Je Vous souhaite un très beau Week-End !
Et déposerai, un peu ma plume sur vos blogs... Pardonnez ce silence...
Je Vous aime...
Anne-Eymeraude.
43 commentaires -
Vicente Romero Redondo
Que cherches-tu belle inconnue, plongée dans le miroir. Ce n'est pas ton seul reflet qui te laisse songeuse.
Jolie nymphe au corps gracile, que laisse entrevoir le morceau de tissu blanc dentelé, lèvres closes, sourire mystérieux, nostalgique,tu sembles rêver. Autour de toi règne le silence léger du parfum de ta peau, étrange chaleur, suave moiteur, chacun de tes gestes n'est que volupté.
Toi-seule décrypte sur la face limpide comme l'eau du lac, sans une ride, les desseins cachés de ta secrète alcôve.
Lui et toi enlacés, noyés dans votre délire, vos rires et vos soupirs semblaient rythmer chaque mouvement amoureux. A ton oreille, ses mots audacieux, saupoudrés d'érotiques sentences, te rendaient encore plus lascive, le laissant manier de ses mains, les moindres recoins de ta féminité.
Le regard impérieux de cet amant sans limites, te rapprocha de lui encore plus près, toujours plus près. Et son corps luisant de désir se fit rempart autour du tien, lentement, comme le ressac de l'océan, venant mourir sur le sable, t'arrachant l'ultime gémissement... Alors Sous son dernier baiser, transie, tu aperçu par la fenêtre de la chambre, la robe d'une aube nouvelle, aux tons pastels...
Tu demeures là, face au miroir magique, qui de tes histoires est le seul complice... Livre mystérieux dont toi seule peut en lire les pages.... A l'infini.
Vicente Romero Redondo
Je dédie ce texte à Lolli qui partage sans jamais rien demander .
CLIC SUR CE COEUR!
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