• Serenade... C'était Hier... Shubert.

     L'amour est d'abord Tendresse.♥

    Anne.

    Serenade... C'était Hier... Shubert.L

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

     

    L'ombre se fait velours.

     

    La nuit devient caresse sous la chaleur de tes baisers, que tu déposes lentement aux creux de mon cou...

     

    Le souffle du vent parfois me fait frissonner mais jamais autant que ton corps contre le mien.

     

    D'un doigt délicat tu redessines la forme de mon sein, t'y attarde, et souriant soudain, enlace ma taille dénudée.

     

    L'effluve de nos ébats emplissent l'alcôve d'une senteur fiévreuse. En une sarabande se mélangent nos voix, serments d'un moment de passion... Qu'en sera-t-il demain...

     

    Fatiguée, je demeure un long moment inerte. Écartelée encore entre les draps, je fuis... Comme les vagues folles qui vont et viennent.en ce vaste océan, ce dont je me rappelle... Éternelle mouvance.

     

    Car...

     

     

    Tu n'existes que dans mon rêve et la crainte de te perdre, me fait tarder d'ouvrir les yeux... Je te voudrais de chair, Je te voudrais vivant. Mon doux, mon tendre amant... Viens … Je t'attends! 

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

     

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

     

    Voici près de quarante cinq ans, une jeune fille vivait sa passion, celle de chanter!

    Et son professeur de chant lui offrit «La sérénade de « Shubert» Elle ne se souvient plus très bien des paroles et Internet ne l'a pas aidée...

    Mais ce dont elle se rappelle est que cette merveilleuse mélodie parlait d'amour, de passion partagée mais également d'un amant jaloux...

    «Ne crains pas l' oeil téméraire d'un amant jaloux»... clamait la voix dans la fraîcheur de sa jeunesse,

     

    Les années passent, le choses changent mais la passion elle ne meurt jamais puisqu'elle est en nous.

     

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

     

    Serenade... C'était Hier... Shubert.

     

     

     

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    19 commentaires
  • Ebauche d'un fantasme

     

    • Ebauche d'un fantasme
    • Ebauche d'un fantasme
    • Ébauche d'un fantasme
    • Le hasard n'existe pas... Le hasard n'existe pas. ..
    • De ses doigts fébriles, l'homme noircit la page... Son regard, songeur semble chercher le reflet d'un visage... Sur le mur, elle lui sourit... Dans les bois entourant sa maison, vers la cime des arbres qui assaillent le ciel... Il la devine...
    • Pourtant il ne l'a entrevue que quelques minutes... «Ma Reine» c'est ainsi qu'il veut la nommer... «Ma reine»...
    • Qu'elle étrange sensation dans sa poitrine, comme l'oisillon qui déploie ses ailes, craintif mais ivre de liberté! Oui c'est ce qu'il a éprouvé lorsque le sourire de l'autre lui adressa son mystérieux message.

    Sa voix, il ne l'a pas encore entendue, mais se plait à l'imaginer, douce, voilée comme le souffle d'un vent venu d'ailleurs. Et puis ne lui a-t-elle pas laissé entendre que les mots pouvaient être messagers de tendresse!

     

    Le soir dépose son fardeau d'une journée, sur la nature indolente. Le brouillard, léger comme le voile d'une mariée, caresse le flanc de la montagne proche. Par la fenêtre, il voit scintiller le croissant de lune... Tout est calme. Même le chien couché à ses pieds, semble rêver.

    Ebauche d'un fantasme

    Ebauche d'un fantasme

     

    Ebauche d'un fantasme

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    20 commentaires
  •  

    Souvenir

     


    Du ciel à la terre-Australie 

     

    A travers le hublot de l'avion j'ai pris quelques clichés..... Australie, je t'ai découverte... Opéra  de Sydney à l'architecture futuriste et ses habitants si amicaux. Oiseaux sans-gêne qui venaient jusqu'à la terrasse des cafés picorer... Jardin atypique japonais, dans lequel j'aurais aimé me perdre. je mettrai d'autres photos. 

    En attendant Bon début de semaine à tous!

    Et n'oubliez pas............... Je Vous aime.

    Anne-Eymeraude.

    Souvenir

     

    Souvenir

     

    Si j'étais un oiseau

    Volant à tire-d'aile

    je viendrai déposer

    Un baiser sur ta joue

     

    Traçant à travers ciel

    A l'aide des nuages

    l'éclat de ton regard

    Je viendrais m'y nicher

    Et tu n'en saurais rien

     

    L'esprit de mon ardeur

    Léger comme le vent

    Défroisserait en vain

    La ride de ton front

     

    Mais moi je serais là

    Attentive cachée

    En un coin de ton cœur

    Présageant ce sourire

    Qu'ébaucherait ta lèvre

     

    Tu ne sais pas encore

    Toi si grand toi si fort

    Qu'une fragile flamme

    Peut être réconfort

     

    Si j'étais un oiseau

    Si je pouvais voler

    Je serais là tout près

    Dans le creux de ta main

     

     

    Mais je ne suis que moi

    Avec mes pauvres mots

    Je ne suis pas oiseau

    Je ne sais que marcher

     

    Déposer sur ta joue

    La caresse du soir

    Te conter cette histoire

    Où le rêve est réel

     

    Mais te prendras-tu

    Au jeu de ma tendresse

    Où aveugle amoureux

    Fermeras-tu les yeux

     

     

    Souvenir

     

     

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    25 commentaires
  •  

    Randonnée au plan du Canada dans l'Oise.

     

     

    Les teintes de l'automne sont de mélancolie.

     

    Novembre, sa fraîcheur comme un début d'avril 

     

    Te souvient-il du temps passé

    De nos amours de nos baisers

    Lorsque se déclinait l'été

    Sur l'écorce  d'un arbousier

     

     

     

     

    Bassin d'argent sous le soleil

     

    Ballet étrange féerique

    Lorsque soudain l'ombre se fait

     

    Les cieux se fondent dans la nuit...

    Offrant aux êtres enfin l'oubli.

     

    Balade en automne ♣♦♠♥

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    22 commentaires
  • Je suis derrière la porte... Qui me l'ouvrira...

     

    Si tu veux donner un sens à ta vie

     

    Faire que les nuits grises soient pattes de velours

     

    Si le matin à l’heure où l’aube se pare comme une jeune mariée

     

    Tes paupières s’ouvrent n’aspirant qu’à une chose encore et toujours découvrir

     

     

    Si le souffle de l'âme dévoile ton passé, striure du temps complice

     

    Beauté originelle

     

    Et malgré ta souffrance laisses errer sur tes lèvres le carmin d’un sourire

     

    Aura d’une seconde qui illumine et réchauffe le spectre qui frissonne

     

    Au fond d’un vent glacial,  renoue le lien délié du cours des jours

     

     

    N'appréhendes de rien  toi qui un soir failli ouvrir en grand la porte du néant

     

    Ecris et chantes et danses ne faillis jamais pose la main sur le mystérieux écrin de

    velours

     

    Bijoux étincelant écho inexploré qui palpite blessé mais jamais terrassé

     

    Alors unis sans fin ces mots ces verbes doux te méneront inéluctablement à ce

     

    dernier...     Aimer.

     

    A un ami.

     

     

     

     "une photographie est un secret sur un secret.

    Plus elle vous en dit, moins vous en savez »

    Diane Arbus

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Pin It

    12 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires