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L'amour est d'abord Tendresse.♥
Anne.
L
L'ombre se fait velours.
La nuit devient caresse sous la chaleur de tes baisers, que tu déposes lentement aux creux de mon cou...
Le souffle du vent parfois me fait frissonner mais jamais autant que ton corps contre le mien.
D'un doigt délicat tu redessines la forme de mon sein, t'y attarde, et souriant soudain, enlace ma taille dénudée.
L'effluve de nos ébats emplissent l'alcôve d'une senteur fiévreuse. En une sarabande se mélangent nos voix, serments d'un moment de passion... Qu'en sera-t-il demain...
Fatiguée, je demeure un long moment inerte. Écartelée encore entre les draps, je fuis... Comme les vagues folles qui vont et viennent.en ce vaste océan, ce dont je me rappelle... Éternelle mouvance.
Car...
Tu n'existes que dans mon rêve et la crainte de te perdre, me fait tarder d'ouvrir les yeux... Je te voudrais de chair, Je te voudrais vivant. Mon doux, mon tendre amant... Viens … Je t'attends!
Voici près de quarante cinq ans, une jeune fille vivait sa passion, celle de chanter!
Et son professeur de chant lui offrit «La sérénade de « Shubert» Elle ne se souvient plus très bien des paroles et Internet ne l'a pas aidée...
Mais ce dont elle se rappelle est que cette merveilleuse mélodie parlait d'amour, de passion partagée mais également d'un amant jaloux...
«Ne crains pas l' oeil téméraire d'un amant jaloux»... clamait la voix dans la fraîcheur de sa jeunesse,
Les années passent, le choses changent mais la passion elle ne meurt jamais puisqu'elle est en nous.
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- Ébauche d'un fantasme
- Le hasard n'existe pas... Le hasard n'existe pas. ..
- De ses doigts fébriles, l'homme noircit la page... Son regard, songeur semble chercher le reflet d'un visage... Sur le mur, elle lui sourit... Dans les bois entourant sa maison, vers la cime des arbres qui assaillent le ciel... Il la devine...
- Pourtant il ne l'a entrevue que quelques minutes... «Ma Reine» c'est ainsi qu'il veut la nommer... «Ma reine»...
- Qu'elle étrange sensation dans sa poitrine, comme l'oisillon qui déploie ses ailes, craintif mais ivre de liberté! Oui c'est ce qu'il a éprouvé lorsque le sourire de l'autre lui adressa son mystérieux message.
Sa voix, il ne l'a pas encore entendue, mais se plait à l'imaginer, douce, voilée comme le souffle d'un vent venu d'ailleurs. Et puis ne lui a-t-elle pas laissé entendre que les mots pouvaient être messagers de tendresse!
Le soir dépose son fardeau d'une journée, sur la nature indolente. Le brouillard, léger comme le voile d'une mariée, caresse le flanc de la montagne proche. Par la fenêtre, il voit scintiller le croissant de lune... Tout est calme. Même le chien couché à ses pieds, semble rêver.
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A travers le hublot de l'avion j'ai pris quelques clichés..... Australie, je t'ai découverte... Opéra de Sydney à l'architecture futuriste et ses habitants si amicaux. Oiseaux sans-gêne qui venaient jusqu'à la terrasse des cafés picorer... Jardin atypique japonais, dans lequel j'aurais aimé me perdre. je mettrai d'autres photos.
En attendant Bon début de semaine à tous!
Et n'oubliez pas............... Je Vous aime.
Anne-Eymeraude.
Si j'étais un oiseau
Volant à tire-d'aile
je viendrai déposer
Un baiser sur ta joue
Traçant à travers ciel
A l'aide des nuages
l'éclat de ton regard
Je viendrais m'y nicher
Et tu n'en saurais rien
L'esprit de mon ardeur
Léger comme le vent
Défroisserait en vain
La ride de ton front
Mais moi je serais là
Attentive cachée
En un coin de ton cœur
Présageant ce sourire
Qu'ébaucherait ta lèvre
Tu ne sais pas encore
Toi si grand toi si fort
Qu'une fragile flamme
Peut être réconfort
Si j'étais un oiseau
Si je pouvais voler
Je serais là tout près
Dans le creux de ta main
Mais je ne suis que moi
Avec mes pauvres mots
Je ne suis pas oiseau
Je ne sais que marcher
Déposer sur ta joue
La caresse du soir
Te conter cette histoire
Où le rêve est réel
Mais te prendras-tu
Au jeu de ma tendresse
Où aveugle amoureux
Fermeras-tu les yeux
25 commentaires -
Randonnée au plan du Canada dans l'Oise.
Les teintes de l'automne sont de mélancolie.
Novembre, sa fraîcheur comme un début d'avril
Te souvient-il du temps passé
De nos amours de nos baisers
Lorsque se déclinait l'été
Sur l'écorce d'un arbousier
Bassin d'argent sous le soleil
Ballet étrange féerique
Lorsque soudain l'ombre se fait
Les cieux se fondent dans la nuit...
Offrant aux êtres enfin l'oubli.
22 commentaires -
Je suis derrière la porte... Qui me l'ouvrira...
Si tu veux donner un sens à ta vie
Faire que les nuits grises soient pattes de velours
Si le matin à l’heure où l’aube se pare comme une jeune mariée
Tes paupières s’ouvrent n’aspirant qu’à une chose encore et toujours découvrir
Si le souffle de l'âme dévoile ton passé, striure du temps complice
Beauté originelle
Et malgré ta souffrance laisses errer sur tes lèvres le carmin d’un sourire
Aura d’une seconde qui illumine et réchauffe le spectre qui frissonne
Au fond d’un vent glacial, renoue le lien délié du cours des jours
N'appréhendes de rien toi qui un soir failli ouvrir en grand la porte du néant
Ecris et chantes et danses ne faillis jamais pose la main sur le mystérieux écrin de
velours
Bijoux étincelant écho inexploré qui palpite blessé mais jamais terrassé
Alors unis sans fin ces mots ces verbes doux te méneront inéluctablement à ce
dernier... Aimer.
A un ami.
"une photographie est un secret sur un secret.
Plus elle vous en dit, moins vous en savez »
Diane Arbus
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