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CLIC sur cette belle photo prise sur Internet.
Il y a des années, en France les Femmes n'avaient pas le droit de désirer
ou non une grossesse. Quelques Hommes, mais surtout des Femmes ont mené
un dur combat qui pour moi, fut un des plus importants pas vers la libération féminine !
Que la Femme puisse choisir d'enfanter, enfin LIBRE de son corps
sans avoir à encourir l'emprisonnement ou la mort dans certains cas.
UNE HONTE!
Les femmes y ayant recouru ou l’ayant pratiqué seront condamnées à la peine de mort. Ce sera le cas de Marie-Louise Giraud, guillotinée en 1943.
Internaute.com
Marie-Louise Giraud
Le 17 janvier 1975 est voté la loi VEIL à titre provisoire pour
une période de 5 ans.
Elles sera reconduite le 31 décembre 1979.
"Internaute.com"
Merci Madame Veil.
L'Espagne vient de décider que l'avortement ne serait accepté que dans le cas de viol.
C'est une honte car c'est de nouveau enfermer la femme dans le carcan du machisme!
Aujourd'hui, l'Espagne et pourquoi pas demain d'autres pays!... Il nous faudra demeurer
vigilants. Sans oublier que les plus aisées pourrons aller dans d'autres pays se faire avorter comme
"au bon vieux temps" !
Je suis en colère et triste de voir que le XXI ème siècle ne voit pas évoluer les mentalités pour ce qui concerne
la FEMME Dans beaucoup de domaines. Quand sera-t-elle non pas l'égale de l'Homme mais entité reconnue et respectée pour ce qu'elle est.
Je pense à ELLES.
_________________________________________________________________________________________Par RFI
Le Parlement européen à Strasbourg va débattre sur la décision du gouvernement conservateur espagnol de légiférer pour interdire l’avortement dans le pays. Un projet contesté par l'opposition et une partie de la majorité dont certains membres demandent la suspension du projet.
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Mes mots m'appartiennent et ma conscience ainsi que mon empathie me portent ce soir à déverser
sereine, malgré tout ce partage avec Vous, qui me faites le plaisir de lire mes délires parfois.
Ce soir, c'est à celles qui seront femmes demain, à qui je pense. Que jamais ne revienne ce temps banni où la femme a parfois souffert dans sa chair, condamnée d'avoir aimé et d'en payer seule le prix !
Anne Caron.
25 commentaires -
Il semblerait que mon texte n'apparaisse pas en entier... J'ai demandé de l'aide, mais si Vous le voyez soyez gentil de me le faire savoir! MERCI ! gggrrrr il y a toujours un bléme!!!!!!!
Bon week-End!
CLIC sur cette photo magnifique.
Si un jour, vous le croisez… Cet être qui sourit, montrant les dents… Fixez-le… Allez au-delà de cette illusion qui semble si réel. Le vide souvent réside derrière la façade du suborneur impénitent.
Ses éclats de voix, son assurance blessante, ne sont le reflet que d’une vanité si fragile que la coupole portée à sa bouche libérera enfin le fraudeur d’amour.
Son royaume tapissé de toiles altérées, paraît si vaste que vous pourriez vous perdre. Mais il ne s‘agit nullement d’espace… Simplement l’aridité de l’air que l’on y respire, y dessèche l’âme, la rendant stérile.
Le miroir de son cœur, embué de son haleine humide vous cachera parfois la pauvre réalité de celui qui ne sachant aimer, poursuit inlassablement l’eau-de-vie que renferme le corps efféminé. Sans discernement. Juste pour passer le temps, se prouver qu’il est vivant et offrir aux autres le spectacle navrant d’un pauvre artiste insensible aux quolibets.
Oui… Si jamais vous le croisez, ce personnage atypique et que votre cœur avide d’espérer réclame sa pitance… Tournez les talons… Sans le vouloir vraiment, il vous ferait souffrir. Vous ne pourriez qu’être déçu.
Tant il est fragile.
Clic sur cette photo que je trouve poignante.
Demain vendredi... Début du week-end...
Il fait gris, c'est l'hiver et pourtant je suis heureuse...
Je voudrais que Vous le soyez aussi!
Mes ami(e)s... Je Vous aime...
Eymeraude-Anne.
20 commentaires -
Trois semaines après... Danser, la renaissance!
Je me souviens.
Ceux qui l’ont vécu ne l’oublient pas non plus… Impossible… Il vous arrive une chose incroyable: Se tenir au bord de ce voyage sans retour…perdre la vie… Et naître encore une fois.
Et là RIEN n’est plus comme avant. Vous n’êtes plus la même, je ne suis plus et ne serai plus jamais la même.
4 mars 2010. 14 heures 08.Je viens de terminer l’échographie de contrôle.
Dans la chambre, je suis seule…Le monitoring m'envoie ses signaux de couleurs. Cet endroit est mon espace vital depuis trois jours.Ce soir ,les souvenirs me reviennent…
Soirée du lundi premier mars 2010. Anniversaire de mon père ou bien de mon grand-père paternel, je ne me rappelle jamais de leurs date de naissance, les confonds toujours. Leur naissance se suivait à un jour près. Papa était né le deux mars je crois, et qu’importe…
Je me suis allongée après un après-midi éprouvant… Je divorce et cela ne se passe pas aussi bien que je l’aurais espéré. Marc, ne comprend pas que je veuille le quitter. Non, je n’ai personne d’autre mais demeurer à ses côtés m’es devenu insupportable, c‘est tout.
Certaines personnes prennent pour acquis l‘engagement d‘une union… En découle alors la routine, ne faire aucun effort… Ne plus faire attention à l‘Autre. Cohabitation morne. Enfin passons!
Mais le résultat de ces heures a palabrer, m’ont donné la migraine. Pourtant il est rare que je souffre de maux de tête mais là je me sens mal.Pourtant après un repas léger, la prise d’un antidouleur, je me décide à repasser un peu, mais la migraine persiste alors la douche et au lit!
La tête sur l’oreiller j’essaie d’oublier un peu cet après-midi désagréable, de m’intéresser à cette célèbre série que diffuse la télé… « Esprit criminel » qui passe le lundi soir.
Elle arrive sournoise, diffuse, cela me secoue comme une décharge électrique! J’ouvre grands mes yeux et gonfle le poitrine… Respirer je ne parviens plus à respirer. Elle est maintenant en moi, s’est engouffrée par tous les pores de ma chair. Il est 23 heures 30 exactement.
Je me soulève tant bien que mal et fais face à la glace de l’armoire. Mon visage transpire et je vois les gouttes qui coulent comme quand la pluie vous surprend et vous trempe !… Saloperie de douleur! Torture qui me bloque le haut du corps, écrase mes bras ! Ma poitrine est comprimée comme dans un corset d’acier. Le feu se diffuse au fond de ma gorge! Je veux la contrer mais elle me foudroie, et je tombe inerte sur le lit, vaincue. Je suffoque sous la violence des vagues rageuses qui ne me laissent aucun répit. Je me métamorphose en une éponge imbibée de moiteur qui suinte, s’éjecte de ma peau, me laisse inondée, glacée. Pas le temps d’éprouver ce sentiment de peur. Je comprends que je vais perdre la vie
Seule je suis seule, pas la force de me saisir du téléphone, le portable se met à vrombir et dans un geste qui m’arrache une plainte, je m’en empare. Une voix amicale qui vient me dire bonsoir, et moi dans un souffle « je vais mourir » avant de m’écrouler pour de bon sur mon lit.
Durant les minutes qui suivent… Le brouillard… Je sais seulement que cette personne prévient ma fille qui à son tour appelle le S.A.M.U. qui m’exhorte à parler… parler pour ne pas sombrer.Auscultée, entourée des pompiers et du docteur me voici transportée à l’hôpital de Beaumont sur Oise.
Comme La nuit est longue elle s’étire m’emportant au fond d’une abyssale souffrance. Ce muscle essentiel qui régit nos sentiments, qui nous permet de rire de pleurer d’EXISTER… ce cœur ne sera jamais plus comme il était. Il me faut l’accepter et partir en ambulance vers le centre hospitalier de Pontoise « U.S.I.C. » Vaste garage où se répare la mécanique humaine.Je me laisse porter, à compter de cet instant par ce personnel médical dont le travail consiste à « sauver » Je ne remue plus, j'attends.
Coronographie, intervention qui consiste à réparer l’artère défectueuse… Pose d’un Sten nu qui me protège… Bientôt quatre ans passés, je vous redis « MERCI »« 14 heures 22 »… Mes yeux se portent vers la fenêtre de la chambre. J’aperçois les lourdes branches feuillues du grand sapin. Elles se balancent sous le vent.
J’entends leur bruit. Le ciel clair pommelé de bleu… Un rayon de soleil, timide me semble la promesse de beaux jours qui ne sont plus loin. Et moi, je vais rentrer chez moi.Ces mots sont mon histoire. Je ne pourrai jamais oublier et c'est pour cette raison que j'aime encore plus la Vie!
Pourquoi ce soir… oh! Souvent je me surprends à penser à mon cœur, et n’est-ce pas naturel?… Après-tout!23 décembre 2013... Je danse toujours! (sourire)
24 commentaires -
Wladimir Volegov
CLIC sur la reproduction ci-dessus.
C'est l'hiver. Il fait froid. Les journées sont courtes et la nuit sombre
Souvent j'éprouve ce sentiment étrange... Je rêve de chaleur,
d'une tiède atmosphère qui enveloppe nos corps et nous laisse alangui,
l'esprit engourdi...
La campagne vibre sous le rayon puissant d'un soleil ardent. C'est à peine si mon regard perçoit l'horizon frissonnant sous l'air chaud.
Heureusement par instant un souffle léger caresse ma nuque mouillé de sueur. Je respire profondément et fermant les paupières, je me laisse aller aux rythmes mystérieux d'une nature en effervescence!
Mais tout cela n'est que songe... Il me faudra attendre que l'hiver se fourvoie...
Et devant notre émoi, qu' il cède enfin la place !
Mais un matin viendra, le bol de café entre les doigts, l'esprit embué d'une nuitée trop courte, j'entendrai étonnée,
le pépiement de l'oiseau, qui bien que timide encore annoncera alors le retour du Printemps.
Hélas, en attendant mes ami(e)s, c'est l'hiver
Et le temps froid, accompagne nos jours.
Alors prenez-soin de Vous et
TRES BON WEEK-END
Je Vous aime.
Eymeraude-Anne.
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Alberto Vargas
Je dors et tu veilles… Dehors le soleil.
Mon amour berce- moi parle-moi
Je dors et tu veilles… conte-moi ces merveilles
Parle-moi de chez-toi Tiens-moi tout contre toi.
Mon corps a ton empreinte l’encre de ton parfum
Mon âme s’assoupie à l’ombre du jasmin
Sous le vent chaud Je tangue et toi tu me retiens
Tendres assauts fougueux distillés par tes soins
Je dors et tu veilles… je dors et tu veilles
Mon Dieu comme il est loin le temps des épousailles
Je dors et tu veilles… Lancinant corps à corps
Qui m’entraîne sans fin vers ce pays lointain
Où règne le soleil où tu m’attends sans fin
Eymeraude
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