• En noir et blanc.

      

      

      

     

     

    En noir et blanc.

    J'aimais déjà danser!

     

    En noir et blanc.

     Mes huit ans.

     

    Te souvient-il de ta jeunesse,

    De ses chagrins et de ses joies !

    Je les contemple avec ivresse

    Mais sans tristesse puisque qu'aujourd'hui

    Toi tu existes dans ma vie

    Que  tes baisers ont cet émoi

    Quand tu me tiens tout contre toi.

    Aperçois-tu Jacques Prévert

    Nous l'avions découvert un jour

    Une simple plaque  gravée

    A la devanture d'un café

     Ce poète à la cigarette

    A qui j'ai dérobé ces lettres

    Ces mots " Je suis comme je suis"

      Simple évangile d'une vie

    La mienne!

     

    Eymeraude

    En noir et blanc.

     

     

     

     

    En noir et blanc.

     

     http://www.journaldesfemmes.com/actu/05/0418doisneau.shtml

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  • Images prises sur Internet!

     

    Que votre journée soit belle !

    Je Vous aime!

    Eyemeraude.

     

     

     

    En attendant!

     

    La terre n'a qu'un soleil.

    Proverbe Africain. 

    En attaendant!

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    Si tu veux donner un sens à ta vie

     

    Faire que les nuits grises soient pattes de velours

     

    Si le matin à l’heure où l’aube se pare comme une jeune mariée

     

    Tes paupières s’ouvrent n’aspirant qu’à une chose encore et toujours découvrir

     

     

    Si le souffle de l'âme dévoile ton passé, striure du temps complice

     

    Beauté originelle

     

    Et malgré ta souffrance laisses errer sur tes lèvres le carmin d’un sourire

     

    Aura d’une seconde qui illumine et réchauffe le spectre qui frissonne

     

    Au fond d’un vent glacial,  renoue le lien délié du cours des jours

     

     

    N'appréhendes de rien  toi qui un soir failli ouvrir en grand la porte du néant

     

    Ecris et chantes et danses ne faillis jamais pose la main sur le mystérieux écrin de

    velours

     

    Bijoux étincelant écho inexploré qui palpite blessé mais jamais terrassé

     

    Alors unis sans fin ces mots ces verbes doux te méneront inéluctablement à ce

     

    dernier...     Aimer.

     

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    SI... 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Si j'étais une fleur

    Je serai celle-là 

    Voluptueux nymphéa

    Qui s'ouvre entre tes doigts

     

    Si j'étais une terre

    îIe entourée de mers

    Sous lesquelles tes pas

    Traceraient le parterre

    De voluptueuses serres

     

    Aux couleurs arc-en-ciel

    Effluves inconnues

    Ornements irréels

    D'un désir défendu

     

    Si j'étais une fleur

    Si j'étais une terre

    Un être dont l'ardeur

    S'avèrant sans frontière

     

    Pour toi je deviendrais

    Le temps d'une seconde

    Celle qui t'offrirait

    La tendresse du monde

     

    Rêver et de ma page

    Extirper un à un

    Ces mots loin dêtre sages

    Transport  échiquéen

    amusement badin

     

    Si...

     Eymeraude

     

    SI...

     

    SI...

    http://majmajest.com/blog/

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     Rêve... Ou....

     

     

     

    J’avance.

    Errant dans le long couloir au mur suintant, mes pieds frôlent le sol jonché de carcasses… Ce sont des mots ! Oui ce sont bien des lettres épaisses au contour affuté qui ondulent sans cesse. Elles me narguent, laissant échapper leur cri de rocaille !

     

    J’ai froid. Ma peau couverte d’un tissu trop léger se rétracte sous l’écho persistant de ce bruit étrange, sentence implacable de l’esprit tourmenté.

     

    J’avance encore,

    Le décor se métamorphose, se déplace. Au fond d’un vaste lit moulé d’une ramure, une forme  gémit sous la ligature mouvante qui l’encercle lentement.

    Avec effroi j’entrevois l’indicible ! Comme en un miroir deux grands yeux me défient et des lèvres bleuies, s’échappe un jargon qui m’est étranger.  Ce visage est le mien !

     

    Transportée de vertiges, l’espace se dérobe, je vole, je tournoie jusqu’au plus haut du toit d’une église embrasée ! Mes larmes abondantes baignent les flammes, ne laissent à la place qu’une onde de soleil !

     

    Et me voici maintenant face à Lui, il rit à gorge déployée. M’enlaçant de ses bras, il m’entraine en une danse extravagante. Je me serre contre lui, exaspérée… je voudrais lui parler!

    Vas-tu m’écouter ! …

     Dis… pourquoi ne m’aimes-tu pas…

     

    Il rit et rit toujours… 

     

    Le téléphone sonne… Oui c’est bien le téléphone !

    Je me secoue, émerge avec peine.

    J’arrache le combiné, l’écouteur à l’oreille j'écoute... j’entends une voix…

     

     

    - « Je te réveille » ? … C’est Toi.

     

    Rêve... Ou....

     

    Rêve... Ou....

    Texte inspiré de la musique que Vous écoutez!

    Bisous pour Vous!

    Eymeraude. 

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